Foujita, à l’instar de Mallarmé, réinterprète l’art des coiffeurs. Pastiche ou postiche ? Scène de genre inconsistante ou « Placet futile », les deux proposent un spectacle contemporain à l’image d’une fête précieuse de Fragonard ou d’une poésie galante.
Au début des années 50, Alexandre de Paris, « le Sphinx de la coiffure », selon Jean Cocteau, succède à son maître Antoine, l’empereur des coiffeurs de la Haute Coiffure française, inventeur de la coupe à la garçonne dans les années 20 et 30, photographiée par Brassaï. La version libre et colorée du dessin ne sera pas retenue pour la planche en noir et blanc, laissant ainsi de côté l’ambiance froide et électrique de ces salons de coiffure chics et modernes. [M.-H. Montout-Richard, 2018]
Notice complèteIntérieur d’un salon de beauté très fréquenté ; les employés s’affairent autour de dames qui tour à tour se font coiffer, manucurer, etc.
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