Toujours fidèle à son thème favori, Olivier de Penne évoque, ici, les derniers préparatifs d’une chasse à courre. Tout le monde se retrouve au carrefour des chemins ; des sonneurs en voiture arrivent sur le lieu de rassemblement, croisant un maître de meute qui leur fait un salut de sa bombe. L’artiste s’est attaché à restituer la vivacité et la fougue des chiens. Le jeu des diagonales augmente l’effet de profondeur de la forêt où l’on devine un nombre important de personnes en arrière-plan. [C. Delot, 2002]
Notice complètePiqueur conduisant une meute dans l’allée du bois. A gauche, une auto.
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