Doux Pays (La Rentrée au tripot)

Description

Un directeur de tripot, de dos, discute avec son maître de salle, tandis qu’un serviteur le débarrasse de son manteau.

---

Sujet/Thème

scène satirique casino homme de dos serviteur conversation homme juge

Événement

Présidence de la république de Félix Faure 1895/01/17

Création

Titre

Doux Pays (La Rentrée au tripot)

Titre

La rentrée au tripot

Dénomination

coupure de journal

---

d'après / dessinateur

Jean-Louis FORAIN
Reims, 1852/10/23 - Reims, 1931/07/11
Nationalité, culture : Française
École, pays : Champagne
Epoque, datation : 1895/02

graveur

CHARAIRE
École, pays : France

Technique

Domaine

imprimé

---

Libellé

Cliché typographique sur papier journal, typographie au verso

Technique

cliché typographique typographie

Support

papier journal

---

Feuille H x L en cm

26,3 x 20,8

Montage H x L en cm

36,1 x 27

Hauteur en cm

26,3

Largeur en cm

20,8

Montage hauteur en cm

36,1

Montage largeur en cm

27

Contexte

Usage

presse

Destinataire

Figaro (Le) (Paris)
(1826)

Date d'utilisation

1895/02/16

Notes

date de publication

Inscription

• signé
  en bas à droite, imprimé
  Forain
• signé
  en bas à gauche, imprimé
  CHARAIRE SC.
• titre
  en haut à gauche, imprimé
  Doux Pays / (LA RENTRÉE AU TRIPOT.)
• légende ; inscription concernant la représentation
  en bas, imprimé
  - Et les juges, monsieur le Directeur ? / - Charmants ! aussi, dites aux pontes que j'autorise la "poussette" pendant un / quart d'heure.
• numéro
  en bas au centre, au crayon graphite
  923 B
• annotation ; daté
  en bas à droite, au crayon graphite
  figaro 16 février 1895 / 15 février 1896 / non
• texte
  au verso, imprimé
• Marquage numéro d'inventaire
  Sur autre support, au dos du montage

Identification

Numéro d'inventaire

910.4.223

Statut administratif

• 910.4 Legs Victor Louis DIANCOURT, 11/1910 (Actuel)

Situation

• Non exposé

Collection antérieure

• Collection privée - Victor Louis DIANCOURT (Reims, 1825/10/05 - Reims, 1910/05/11)

Référence

Cette fiche ne reflète pas nécessairement le dernier état du savoir.